L’une des forces de Decelect, c’est sa capacité à produire très rapidement du sur-mesure dans ses unités de fabrication françaises. Face à l’épidémie de Covid-19, l’entreprise se mobilise pour répondre aux demandes pressantes d’équipements pour les respirateurs artificiels et les datacenters.
« Il nous faut (…) produire davantage en France, sur notre sol. Pour certains produits et certains matériaux, le caractère stratégique impose d’avoir une souveraineté européenne pour réduire notre dépendance. » Le chef de l’État français l’a martelé le 31 mars dernier, la relocalisation d’industries stratégiques sera l’une des priorités pour la suite de son quinquennat. La pandémie de coronavirus démontre, en effet, l’importance vitale de la « souveraineté nationale » souhaitée par le président Emmanuel Macron, afin de réduire les importations dans les secteurs « de première nécessité ».
À sa mesure, Decelect répond déjà à ces impératifs industriels nationaux. Decelect, qui fait partie de la French Tech des Hauts-de-France, compte aujourd’hui trois sites dans l’Hexagone : son siège social basé à Soissons (Aisne), un site de production à Saint-Vit, près de Besançon (Doubs), et un site à Esvres (Indre-et-Loire). Auxquels s’ajoutent le site de Nabeul, en Tunisie, et pour la Chine, un bureau à Shenzen et une unité de production à Dongguan.